10 000 euros de zamal ont été découverts dans la cour d’un habitant de Grand-Ilet. L’homme de trente ans a été arrêté. Le Parquet doit statuer aujourd’hui sur son sort. Les gendarmes ont également trouvé une arme à son domicile. Les enquêteurs cherchent à savoir si l’activité du Salazien s’inscrit dans le cadre d’un réseau organisé.
La « brigade des stup » est allée bien loin pour trouver l’opiacée. C’est dans une arrière-cour appartenant à un habitant de Grand-Ilet, que les enquêteurs ont mis la main sur des pieds de zamal à différentes maturités.
L’homme a été emmené à la gendarmerie, il est en cours d’interrogatoire sur sa participation à un éventuel réseau de revente de zamal.
Depuis plusieurs mois policiers et gendarmes travaillent de concert afin de débusquer les planteurs et receleurs.
En réalisant plusieurs coups de filets successifs, les autorités fragilisent l’offre et la demande.
C’est ainsi selon eux, que les gros revendeurs sont plus facilement identifiables. La saisie record date de 2002 à Mafate, où 15 000 pieds de zamal avaient été détruits.
C’était l’ONF qui avait découvert la plantation depuis le ciel. La zone de culture étant si importante qu’elle était visible depuis un hélicoptère.