Après qu’un homme de 24 ans soit suspecté d’avoir violé une gramoune de 93 ans et agressé sexuellement trois autres résidentes de l’EHPAD Les Alizés de La Saline-les-Bains, plusieurs questions se posent. Cet acte aurait-il pu être évité, quelles sont les responsabilités ? Pour y répondre, Philippe Boyer, le directeur général adjoint de la Fondation Père Favron, était en direct au journal télévisé de 19 heures, depuis Saint-Pierre.
L’homme suspecté d’avoir violé une femme de 93 ans et agressé sexuellement trois autres résidentes de l’EHPAD Les Alizés de La Saline-les-Bains est entré par la fenêtre. Philippe Boyer reconnaît que la responsabilité de l’établissement est engagée.
"À partir du moment où nos résidentes sont agressées dans notre établissement, il est évident qu’on ne peut pas se cacher derrière notre petit doigt. On est forcément responsables de ce qui se passe dans la mesure où nous n’avons pas réussi à protéger comme il fallait nos résidentes. On prend toutes les précautions que l’on peut. Nous avons pris un ensemble de mesures pour renforcer la sécurité. On a fait appel à une compagnie de vigiles pour assurer la sécurité de l’établissement la nuit, nous avons renforcé les caméras de vidéosurveillance, et renforcé la solidité des issues de secours".
Retrouvez l’intégralité de l’intervention de Philippe Boyer, le directeur général adjoint de la Fondation Père Favron, dans la vidéo ci-jointe.