Ce dimanche, le préfet reçoit de nouveau la filière pétrolière. Ils discuteront de l’arrêté de méthode fixant les prix du carburants. Le représentant de l’État espère une sortie de crise dans la journée.
Depuis maintenant 4 jours, les stations-service sont fermées. Le mouvement de grogne concerne le décret Lurel dont les exploitants de ces commerces ne voulaient pas voir entrer en action avant plus de négociations.
C’est d’ailleurs ce qui se passe actuellement à la préfecture. Les acteurs de la filière carburants sont ce dimanche matin reçus par Jean-Luc Marx, préfet de La Réunion. L’objet des discussions, la proposition d’arrêtés de méthode préfectoral.
Samedi après-midi, pendant 4 heures, tous étaient déjà réunis. À la sortie d’une rencontre qui a duré 4 heures, alors que les importateurs semblaient satisfaits, les gérants de stations-service qui ont lancé le mouvement de grogne avaient la mine déconfite.
Ce dimanche à 9 heures, tous se retrouvent pour une nouvelle séance de travail. Le préfet espère lui une "issue positive à la crise" après cette nouvelle réunion.
