Depuis le fameux « tweetgate » du 12 juin, Valérie Trierweiler se fait plus discrète. Elle aurait confié à son entourage qu’elle regrette énormément d’avoir affiché publiquement son soutien à l’adversaire de Ségolène Royal.
Le message de soutien au dissident socialiste, Olivier Falorni, que Valérie Trierweiler avait posté sur son compte twitter le 12 juin dernier a fait des vagues et la « Première dame » s’en rend bien compte, parait-il. Depuis cette histoire, on ne la voit presque plus dans les médias, ni même sur le site de l’Elysée et encore moins aux côtés de son mari pour son déplacement au Mexique dans le cadre du G20.
Dans son entourage, on affirme qu’il n’a jamais été prévu qu’elle accompagne François Hollande à Los Cabos. Elle devait rester en France pour être aux côtés de ses deux enfants qui passent le Bac.
Pour ce qui est de l’absence de la notice biographique de la première dame du site Internet de l’Elysée, une nouvelle mouture de remplacement est déjà en cours de rédaction et sera publiée prochainement.
Mais la discrétion qu’elle entretient depuis cette histoire ne laisse personne indifférent. La même source affirme donc qu’elle aurait été profondément touchée par l’effet que son tweet avait eu sur ses proches.
« Elle n’a pas bien calculé les conséquences que son tweet aurait sur l’autorité du chef de l’Etat, sur le PS, sur ses enfants et ceux de François Hollande », a déclaré un ami de la famille dans Le Parisien. Le quotidien de rajouter que Valérie Trierweiler aurait également confié à une de ses amies : « J’ai commis une erreur ». Celle qui n’aime pas se faire appeler « la Première dame » s’en veut énormément d’« avoir donné une image négative » à Ségolène Royal.
La première concernée, qui avait été battue par son adversaire dans sa circonscription, avait effectivement déclaré sur France 2 après sa défaite que le tweet de Trierweiler « n’a pas arrangé les choses ».
Entre Hollande et sa compagne, les relations se seraient quelque peu détériorées après ce fameux « tweetgate ». « Il était furieux, il est clair que cela ne pourra pas se reproduire », rapporte toujours ce confident de Valérie Trierweiler.