Le vice-président du Front national est revenu sur sa passion première, le jardinage sur Europe 1. Il assure avoir "parlé à son arbre".
Ce n’est pas la première fois que le vice-président du Front national Florian Phillipot évoque sa passion pour les plantes. En effet, plus tôt ce mois-ci, dans un reportage d’Envoyé spécial sur France 2, il confessait déjà que sa vocation première n’était pas la politique, mais le jardinage. Il a remis ça dans l’émission Ça pique, mais c’est bon sur Europe 1.
"Il paraît que lorsque vous étiez petit, vous rêviez d’être jardinier, c’est vrai ?", lui demande ainsi Anne Roumanoff. "Oui, c’est vrai", lui répond Florian Philippot. "Finalement, je fais pousser des idées, des idées plus positives que ce que vous ne semblez penser", ajoute-t-il après une métaphore politico-florale de l’humoriste.
Révélant qu’il avait son potager, Florian Phillipot raconte encore qu’avec sa famille, ils allaient en forêt. Il assure s’être intéressé à toutes les essences d’arbre. "J’avais mon arbre et je lui parlais", se souvient-il encore, avant d’ajouter : "Je lui demandais comment ça allait".
Interrogé par une chroniqueuse sur ses relations avec Jean-Marie Le Pen, - "et à la vieille branche Jean-Marie, vous ne lui parlez toujours plus ? "- Florian Philippot a dû reconnaître que c’était vrai. "Je n’ai jamais été extrêmement proche de Jean-Marie Le Pen", a-t-il expliqué. Et à la question de savoir si le fondateur du Front national, depuis exclu par sa fille Marine, le déteste vraiment comme cela est souvent rapporté, Florian Philippot a répondu : "J’ai cru le comprendre".