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Le président de la République François Hollande a assisté ce jeudi 14 juillet au dernier défilé de son quinquennat, mais également son dernier oral officiel. Entre le terrorisme, le chômage ou encore le Brexit, retenez les 10 grandes révélations du chef de l’Etat.
Comme il est de coutume chaque 14 juillet, le chef de l’État donne une interview télévisée depuis l’Élysée. Face à Gilles Bouleau et David Pujadas, François Hollande a abordé différents sujets ce jeudi. L’allocution du président de la République se résume par ces dix phrases-chocs.
"Cinq ans c’est très court", a déclaré François Hollande à quelques mois de la fin de son quinquennat.
"Je ne me laisserai pas dominer par la peur. La France est forte et doit être consciente de sa force."
"Je pense que ça va effectivement mieux en France".
"Agir ce n’est pas se protéger [...] Cette loi allait être bonne pour le pays. Je suis un homme de gauche."
"Nous aurons une inversion de la courbe du chômage à la fin de l’année".
"Dans un gouvernement, il n’y a pas de démarche personnelle, encore moins présidentielle. Il faut servir, jusqu’au bout."
"J’aurai permis à mon pays d’être dans une meilleure situation en 2017 qu’en 2012".
"J’ai baissé les prélèvements des ménages et cette année nous allons faire une baisse d’impôts qui concernera 8 millions de foyers".
"Depuis mon arrivée, le budget de l’Élysée a baissé, mon salaire a baissé de 30%."
"Être président de la République, c’est être confronté à la mort, à la tragédie et au drame".
