Mohamed Merah aurait-il pu être arrêté vivant ? Pourquoi avoir attendu plus de 30 heures avant de donner l’assaut final ? La mort du forcené symbolise-t-elle l’échec du Raid ? Voilà autant de questions qui sont aujourd’hui soulevées. Le fondateur du Groupe d’Intervention de la Gendarmerie Nationale critique avec force le mode opératoire choisi par les autorités pour neutraliser le tueur au scooter.