"Mon pote Mohamed, c’est un homme, un vrai. Dommage qu’il n’ait pas eu le temps de finir le travail". Ces propos, qualifiés par la justice de "provocation à la haine raciale" et d’"apologie du terrorisme", ont été celui d’un jeune homme de 20 ans, habitant le même quartier toulousain que Mohamed Merah, lors d’un contrôle de la police. Le prévenu a été condamné à trois mois de prison ferme, selon une information du parquet ce vendredi, relayée par Le Figaro.