La guerre entre Endemol et Geneviève de Fontenay est sur le point de prendre fin. C’est la Dame au chapeau elle-même qui l’a confirmé.
Dans le dernier numéro de l’émission ‘Accès Privé’ sur la chaîne Métropolitaine M6, la Dame au chapeau avait exprimé son souhait de mettre un terme à la guerre l’opposant à la firme Endemol depuis son départ de la société Miss France. Geneviève de Fontenay confirme ce tournant majeur dans les colonnes de TV Mag - Le Figaro.
Si GdF choisit de faire ce pas en avant, c’est pour une raison bien précise : « Le principal argument de ma décision, confie-t-elle, c’est le départ de Virginie Calmels (ndlr : ex-directrice d’Endemol France). C’est elle qui a été la cause de mon départ, c’est elle qui avait foutu la pagaille », en rappelant également les deux scandales de « photos porno » de la Réunionnaise Valérie Bègue et Kelly Bochenko.
« Pourquoi pas ne pas revoir les choses autrement ? » ajoute Geneviève de Fontenay … « Je veux arrêter les procédures qui laminent mon compte en banque. Cela m’a coûté des milliers d’euros, des honoraires d’avocats depuis trois ans... »
Concernant Sylvie Tellier, l’actuelle directrice de la Société Miss France, Geneviève de Fontenay assure que malgré les piques qu’elle et son ancienne protégée se lancent via la presse, elle n’a « rien contre Sylvie … » « Ce n’est pas elle qui a le pouvoir décisionnaire et Sylvie n’a pas été la cause directe de mon départ. Je le lui ai dit d’ailleurs que Virginie Calmels étant partie, nous pouvions envisager une sorte de pacte de non agression. Elle n’a pas dit non », confie la Dame, et de lâcher : « Il faudrait aboutir à la paix. J’ai 80 ans ! Qu’on me laisse finir ma vie tranquille ! »
Contactée, par TV Mag - Le Figaro, Sylvie Tellier s’avoue « très agréablement surprise par les propos » de Geneviève. Au sujet du rapprochement dont elle parle, « nous sommes parfaitement ouverts à la réflexion même si nous n’allons pas prendre une décision maintenant », soulignant qu’« Il ne faut pas oublier que Geneviève a eu des propos très durs envers nous, le concours, nos délégués, nos partenaires... Nous allons donc y réfléchir, il n’y a pas d’urgence mais cela n’est pas du tout impossible. »