Le procès de Cédric Dary s’ouvre ce mercredi. L’homme est accusé d’avoir tué sa conjointe et d’avoir brûlé son corps en 2009. Devant le jury de la Cour d’Assises, il devra une nouvelle fois livrer sa version des faits. Il encourt la réclusion criminelle à perpétuité.
Alors que la liste des victimes de violence conjugales ne cesse de s’allonger, une affaire sordide sera examinée dès aujourd’hui par la Cour d’Assises. Le 18 décembre 2009, le corps sans vie d’une jeune femme était découvert partiellement brûlé dans un champ de cannes, à proximité de la Cascade Niagara à Sainte-Suzanne. Sarah Ranguin avait disparu huit jours plus tôt, laissant sa famille et ses amis dans l’inquiétude la plus totale.
Bien qu’il ait tout fait pour écarter les soupçons des enquêteurs, le compagnon de la boulangère de 37 ans a rapidement été considéré comme le suspect n°1 dans cette affaire. Interpellé quelques semaines après la macabre découverte, Cédric Dary a été placé en garde à vue le 2 février 2010 avant d’être mis en examen pour "homicide volontaire".
Lors de sa garde à vue, Cédric Dary avait finalement reconnu que le couple avait eu une violente dispute dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 décembre. Suite à une scène de ménage au domicile des concubins, Sarah Ranguin aurait quitté l’appartement à pied mais une seconde altercation l’aurait opposée à son conjoint au Parc du Bocage.
Selon les éléments de l’enquête, Cédric Dary collectionnait les maîtresses mais refusait que Sarah Ranguin le quitte. Comme dans beaucoup d’autres affaires similaires, la jalousie et le refus de la séparation seraient à l’origine de ce drame conjugal. Cédric Dary, marchand forain âgé de 40 ans comparait aujourd’hui pour le meurtre de sa compagne. Face aux juges, il devra une nouvelle fois expliquer les raisons qui l’ont poussé à commettre l’irréparable.
Pour avoir tué, brûlé sa conjointe et avoir abandonné son corps dans un endroit reculé, Cédric Dary risque une lourde peine, la réclusion criminelle à perpétuité. A l’époque des faits, le quadragénaire avait donné plusieurs interviews aux médias et notamment à Antenne Réunion, ceci afin de détourner l’attention des autorités. Il s’était alors présenté comme un homme meurtri, et n’avait pas hésité à accusé Sarah Ranguin de lui avoir volé de l’argent. Le jury de la Cour d’Assises pourrait considérer cette mise en scène et les nombreux mensonges de Cédric Dary.
Lors de sa garde à vue, Cédric Dary avait finalement reconnu que le couple avait eu une violente dispute dans la nuit du vendredi 11 au samedi 12 décembre. Suite à une scène de ménage au domicile des concubins, Sarah Ranguin aurait quitté l’appartement à pied mais une seconde altercation l’aurait opposée à son conjoint au Parc du Bocage.
Selon les éléments de l’enquête, Cédric Dary collectionnait les maîtresses mais refusait que Sarah Ranguin le quitte. Comme dans beaucoup d’autres affaires similaires, la jalousie et le refus de la séparation seraient à l’origine de ce drame conjugal. Cédric Dary, marchand forain âgé de 40 ans comparait aujourd’hui pour le meurtre de sa compagne. Face aux juges, il devra une nouvelle fois expliquer les raisons qui l’ont poussé à commettre l’irréparable.
Pour avoir tué, brûlé sa conjointe et avoir abandonné son corps dans un endroit reculé, Cédric Dary risque une lourde peine, la réclusion criminelle à perpétuité. A l’époque des faits, le quadragénaire avait donné plusieurs interviews aux médias et notamment à Antenne Réunion, ceci afin de détourner l’attention des autorités. Il s’était alors présenté comme un homme meurtri, et n’avait pas hésité à accusé Sarah Ranguin de lui avoir volé de l’argent. Le jury de la Cour d’Assises pourrait considérer cette mise en scène et les nombreux mensonges de Cédric Dary.
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