En ce début du mois de Ramadan, les agriculteurs comoriens peinent à satisfaire la demande croissante en denrées alimentaires. Bananes, maniocs, patates douces ou taros sont devenus de plus en plus rares sur le marché d’Anjouan. Parallèlement, plusieurs quartiers de Mutsamudu, la principale ville de l’île comorienne, font face à des coupures d’eau depuis près d’une semaine, selon Albalad.