Ce matin, les plages ne sont pas désertes dans l’Ouest de l’île car nombreux sont ceux qui ont choisi de se détendre sur le sable chaud avant de se rendre dans les bureaux de vote pour exercer leur droit.
La grande majorité des plagistes interrogés ce matin à l’Hermitage affirme apprécier une petite baignade avant d’aller voter pour les élections Régionales 2010. "Le priorité, c’est de se détendre à la plage avec la famille mais notre devoir de citoyen c’est aussi d’aller voter" explique une mère de famille.
La commune de Saint Gilles est sous le soleil en ce dimanche matin mais malgré cela, les Réunionnais qui profitent de la plage suivent de près les Régionales 2010 et affirment qu’ils se rendront dans les bureaux de vote avant l’heure de la fermeture, à savoir 18h00.
Douze listes sont en lice pour accéder à la tête de la pyramide inversée et pour certains, "le choix reste difficile" comme l’explique une plagiste. Avant d’ajouter : "on est un peu perdus car il y a beaucoup de candidats mais le vote est un droit qu’il faut absolument qu’on entretienne pour ne pas le perdre".
D’autres baigneurs affirment qu’ils sont partis voter avant d’aller à la plage afin de décompresser complètement une fois sous le soleil. Une chose est sure : les bureaux de vote des 24 communes sont ouverts depuis 8h00 ce matin et ce, jusqu’à 18h00.
Pour suivre la soirée des élections régionales, Antenne Réunion met tout en oeuvre afin d’informer les téléspectateurs en direct pendant plus de quatre heures, de 18h00 à 23h00. Des analyses précises sont également à l’ordre du jour pour cette soirée d’exception présentée par Jean-Marc Collienne et l’interactivité sera au rendez-vous avec Yolande Callichiama qui prendra l’antenne en direct pour poser toutes les questions des internautes aux invités.
Présentés par Sabrina Superviele, les résultats et tendances n’auront donc aucun secret pour les téléspectateurs. Pour plus de précision, le dispositif mis en place permet de suivre les résultats minute par minute et ce, dans les 24 communes. Ces derniers seront analysés en direct par Philippe Fabing, directeur des études politiques d’IPSOS.