Aux alentours de 4 heures ce vendredi 16 mars, un incendie s’est déclaré dans une maison située route du Maïdo, dans le chemin Alambic. Il ne reste plus rien de cette case en bois sous tôles où vivait Thérèse Bègue. Agée de 80 ans, cette gramoune a été retrouvée sans vie dans les décombres. Pour sa famille, la douleur et l’incompréhension dominent car pour l’heure, l’origine de cet incendie reste inconnue.
Dans le quartier de Petite France, l’émotion était forte ce matin. Tous les habitants ont découvert avec tristesse les restes de la petite case en bois sous tôles où vivait Thérèse Bègue.
Agée de 80 ans, la gramoune se trouvait à l’intérieur de la maison lorsque cet incendie s’est déclaré aux alentours de 4 heures du matin. Malgré l’intervention des soldats du feu qui sont rapidement venus à bout des flammes, il était déjà trop tard pour Thérèse Bègue. Un important dispositif a été mis en place : une vingtaine de sapeurs pompiers se sont mobilisés pour maîtriser l’incendie.
Retrouvée sans vie dans les décombres, elle laisse derrière elle toute une famille dans la douleur. Rassemblée sur les lieux du sinistre, ses proches veulent comprendre ce qui a pu se passer durant la nuit.
Pour le fils de Thérèse Bègue prénommé Jean-Yves comme pour sa belle-fille Bernadette, c’est l’incompréhension qui règne. Un expert doit se rendre sur place pour les besoins de l’enquête car l’origine de ce sinistre reste inconnue.
Dans le quartier de Petite France, l’émotion est vive. La famille Bègue est bien connue pour ses alambics et beaucoup sont ceux qui se sont déplacés pour soutenir la famille après ce drame.