A Mayotte, les enfants entre eux parlent dans la langue locale, le shimaoré ou le shibushi.... Pourtant l’enseignement est bien en français, mais dans les familles, la langue de Molière ne fait pas encore recette. Premier ou second degré, les établissements scolaires se construisent à tour de bras. Chaque année, 1000 enfants supplémentaires sont scolarisés chaque année pour répondre aux besoins démographiques et améliorer le niveau de français.